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L’amour… Éphémère instant de bonheur livré à la passion charnelle et aux plaisirs irrationnels me laisse songeur. Ignorant de ses saveurs les plus profondes, je ne sais pas l’exprimer d’une valeur suffisante. Ses notes coulent dans mes veines, mais je ne puis en deviner la mélodie. Plongé dans l’obscure candide, j’attends celui qui m’apportera la lumière. Le parfum âpre de la solitude me caresse de sa mélancolie. Embaume mes sens de cette liberté d’aimer. Je n’ose pas, par crainte de souffrir encore, encore, encore et toujours. Je suis las, fatigué et abattu, mais je veux encore y croire, il me reste encore un peu d’essence…
Tends-moi ta main tremblante. Je ne la lâcherai pas. Et posée sur ma poitrine, tu sentiras les battements d’un cœur qui ne vivra que pour guider tes rêves.
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