J’aime bien la nuit. Surtout entre trois et cinq heures du matin.
Ce moment où nous sommes tiraillés entre la nuit et le jour. Ce moment où nous ne percevons plus le monde de la même façon, un autre monde, moins fréquenté, vierge de toutes épreuves.
Ce moment où souvent, je m’assois sur le bord de ma fenêtre, avec un peu de musique, ou juste le silence comme ami. Alors je m’allume une cigarette, la meilleure. Je frissonne. Les crépitements du tabac qui se consume résonnent sur les toits des maisons voisines endormies. J’aime ce bruit. J’aime ce moment. J’aime cette tendresse. Et je reste là assis à rendre mes poumons aussi noirs que la nuit qui m’enveloppe jusqu’à ce que le jour commence a la remplacer.
Là, sur mon piédestal, j’observe et je profite de l’étrange et délicieux ballet de la mise en route du monde et je me sent plus que jamais vivant.
Ce moment où nous sommes tiraillés entre la nuit et le jour. Ce moment où nous ne percevons plus le monde de la même façon, un autre monde, moins fréquenté, vierge de toutes épreuves.
Ce moment où souvent, je m’assois sur le bord de ma fenêtre, avec un peu de musique, ou juste le silence comme ami. Alors je m’allume une cigarette, la meilleure. Je frissonne. Les crépitements du tabac qui se consume résonnent sur les toits des maisons voisines endormies. J’aime ce bruit. J’aime ce moment. J’aime cette tendresse. Et je reste là assis à rendre mes poumons aussi noirs que la nuit qui m’enveloppe jusqu’à ce que le jour commence a la remplacer.
Là, sur mon piédestal, j’observe et je profite de l’étrange et délicieux ballet de la mise en route du monde et je me sent plus que jamais vivant.
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